CEI3* 160, CEI2* 120 CIM, CEI1* 100, CEI1* 100 (18/05), CEIYJ2* 120, CEIYJ1* 100
CEI3* 160, CEI2* 120 CIM, CEI1* 100, CEIYJ2* 120, CEIYJ1* 100
CEI2* 120 CIM, CEI1* 100, CEIYJ2* 120, CEIYJ1* 100
CEI1* 100
CEI2* 120 CIM, CEI1* 100
CEI3* 160, CEI2* 120 CIM, CEI1* 100, CEIYJ3* 160, CEIYJ2* 120, CEIYJ1* 100
CEI3* 160, CEI3* 160, CEI2* 120 CIM, CEI2* 120 CIM, CEI1* 100, CEI1* 100
CEI3* 140, CEI3* 160, CEI2* 120 CIM, CEI2* 120 CIM (25/05), CEI2* 70+(2) (24/05 - 25/05), CEI1* 100 (25/05), CEI1* 100, CEIYJ2* 120, CEIYJ1* 100
Lu pour vous : L'enquête continue (en complément du Paris-La Baule 1928)Le Sport Universel Illustré fait état d'articles sociologiquement intéressants ... à quelques mois de la grande dépression de 1929 !
Il apparait que 1928 fut une "année folle" aussi pour l'endurance "hippique" avec Paris-Cannes, Paris-Deauville, Paris-Dieppe, Paris-La Baule, Lyon-Vals notamment mais aussi Bucarest-Paris-Bucarest, Berlin-Paris, Berne-Paris-Lucerne. En miroir avec le Paris-Deauville 1903, gagné par Paul Bausil, qui a fait école dans la Cavalerie française avant 1914-18, et qui est bien connu, une réplique civile s'est effectuée en 1928. Des officiers de la Réserve, comme le capitaine Branca ou Gérard de Vienne ont participé en civil à Paris-Deauville en juillet et ultérieurement en uniforme à Paris-La Baule et au Touquet (1929). En 1903, 1928 et 2003 les profils d'itinéraires, de participants sont différents et traduisent des évoltutions environnementales et sociétales importantes. La participation des agents secrets de modernité, selon l'expression d'Edgar Morin, les femmes, avec Mary Féraud (du nom du maison de Haute-Couture contemporaine) y sont très actives alors qu'elles avaient l'exclusivité pour Paris-Cannes à la fin de l'hiver.
Toutes les destinations civiles, militaires, touristiques ou sportives sont ... balnéaires ! Une question est récurente : l'avenir des parcours hippomobiles sur longues distances et des sorties de Paris ? En 2004, il aura fallu pour le Paris-Deauville, organisé par le Conseil Général des Hauts-de-Seine, effectuer un départ fictif du Haras de Jardy et rejoindre en vans l'hippodrome d'Evreux. Une autre question est inévitable : comment se fait-il que cette période ait été complètement oubliée ?
L'avènement des disciplines olympiques et l'expansion des courses, en stades, ont dû procurer un substitut à un mode de déplacement utilitaire devenu obsolète; Toujours en quête d' imaginaire nous avons encore la chance de le voir ressurgir tant que des terrains de pratiques, hors-stades, sont possibles, pour le tourisme équestre, le TREC et l'endurance... mais l'avenir n'est pas écrit !
ci-joint : copie de l'article du Sport Universel Illustré , "Après « Paris-Deauville comme autrefois »"...
Remerciements pour toute information et commentaire supplémentaire
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